Le lundi je m'informe 29/04

"Ici, la différence devient la norme."


Découvrez dès maintenant "All Kids Are Cool Kids", le tout nouveau magazine qui célèbre la vie des enfants en situation de handicap.

Pauline Mangin, à la fois journaliste passionnée de technologie et maman d'une petite fille en situation de handicap, a constaté le manque d'inclusivité et d'accessibilité dans les médias, en particulier en ce qui concerne les sujets liés au handicap. C'est pourquoi ce mois-ci, elle a décidé de franchir le pas et de lancer "All Kids Are Cool Kids", un nouveau magazine numérique lifestyle entièrement axé sur l'accessibilité.

"All Kids Are Cool Kids célèbre la diversité et met en avant les vies des enfants handicapés ainsi que de leurs familles. Mode, beauté, style de vie, voyages... Tous les sujets du quotidien sont traités avec un regard critique et adaptés aux divers handicaps. Ici, la différence est la norme", affirme la fondatrice du magazine.


Pauline vise à briser les stéréotypes et à promouvoir le progrès social à travers trois piliers fondamentaux :

  1. Inspirer : En représentant la diversité même dans les sujets les plus tendance, le magazine aspire à inspirer ses lecteurs.
  2. Engager : En fournissant des solutions concrètes aux familles dans le besoin, "All Kids Are Cool Kids" s'engage activement à soutenir sa communauté.
  3. Militer : En plaçant la question du handicap au cœur des débats, le magazine cherche à sensibiliser et à promouvoir l'inclusion dans la société.

Pour concrétiser son projet, Pauline Mangin a rassemblé "une équipe de professionnels talentueux et engagés, déterminés à fournir un contenu de qualité accessible à tous". Mais surtout, pour faire de ce rêve une réalité, elle a besoin de vous ! Pauline a lancé une campagne de financement participatif juste ici. Ensemble, faisons en sorte que ce magnifique projet voie le jour. Nous comptons sur VOUS !

Source : Kombini

France Asso Santé dévoile ses solutions pour lutter contre la précarité au travail des personnes en situation de handicap ou des aidants


Ils se prénomment Marie, Anna, Samia, Pauline, Arthur, Idrissa, Philippe, Damien, Paulo... Leur caractéristique commune ? Ils sont malades et/ou en situation de handicap, ou bien aidants. Leur point de convergence ? Ils rencontrent les mêmes difficultés à poursuivre leur activité professionnelle dans des conditions dignes, en raison des incohérences législatives ou réglementaires. France Assos Santé a dévoilé leurs témoignages et leurs propositions.

Depuis des années, les associations de patients alertent les gouvernements successifs sur la situation des travailleurs malades, en situation de handicap ou aidants, et sur les nombreux obstacles qu'ils rencontrent dans leur vie professionnelle. Discrimination, difficultés à concilier travail et soins ou accompagnement, problèmes liés à la médecine du travail, et chute vers une précarité financière lors d'arrêts ou de réductions du temps de travail dus à la santé du travailleur ou d'un proche : ces difficultés sont multiples.


Derrière les mécanismes techniques se trouvent des hommes et des femmes dont la vie est déjà chamboulée par la maladie ou un handicap. Ils se retrouvent dans la détresse, confrontés soit à des défaillances et des lacunes, soit à un système absurde qui les pénalise, aggravant ainsi leurs défis quotidiens et leurs perspectives d'avenir.

France Assos Santé présente les témoignages de ces travailleurs à travers une dizaine d'histoires de vie, et propose une vingtaine de mesures élaborées par un groupe de travail interassociatif. Ces propositions visent à permettre aux personnes ayant cotisé de vivre dignement lorsqu'elles ne peuvent plus travailler, ou au contraire, de poursuivre leur activité professionnelle de manière sereine et adaptée à leur santé.

Alors qu'un grand ministère fusionnant le Travail et la Santé a été créé, il est urgent qu'il aborde ces questions étroitement liées dans le cadre du prochain Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS).



C'est une première victoire pour les enfants, les parents et les accompagnants d'élèves en situation de handicap (AESH). 


Nous sommes extrêmement heureux de voir enfin des progrès après le long combat mené pour que l'État assume ses responsabilités concernant la prise en charge financière des AESH pendant la pause méridienne, qui fait partie intégrante du temps éducatif.

C'est un premier pas significatif, mais la route à parcourir reste longue. D'autres étapes doivent encore être franchies, mais notre détermination demeure intacte. La démarche initiée à la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées) pour dresser un bilan transparent de tous les dysfonctionnements entravant un accompagnement humain et efficace des familles et des enfants en situation de handicap dans nos écoles se poursuivra dans les semaines à venir, en collaboration avec tous les acteurs concernés.

Nous devons persévérer ensemble et maintenir notre mobilisation afin d'obtenir un véritable plan d'aides adapté aux besoins des enfants, de réduire les délais de traitement et de simplifier les démarches pour garantir le respect du droit des enfants à une éducation "inclusive".

Le combat continue donc, et je reste pleinement engagée !

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